Le Noël des autres années se préparait
dans la sérénité : virées cadeaux en ville pour goûter à
l'atmosphère de cette période de l'Avent, plus
commerciale que religieuse... Préparatifs sans précipitation, maison qui
peu à peu se métamorphosait, embaumant la résine du sapin, le parfum des bougies consumées et les effluves du thé de Noël aux épices, pardonnez-moi tous ces chers clichés...
Cette année rien de tout cela : aucune envie de flâner en
ville, trop d'embarras, horreur des foules
braillardes, et grand écart entre deux maisons, celle que l'on vide et
celle que l'on aménage, la littorale et la campagnarde, voyages fatigants dans un fourgon gavé en évitant les
points névralgiques qui ont la jaunisse...
Cependant la nouvelle
maison n'a pas dérogé à la tradition et à peine investie, s'est parée en quatrième vitesse pour l'arrivée de ses premiers invités.
Cliquez ici...
Cliquez ici...